Le Tennis régional de Beauce part en campagne de financement
Le club de Tennis régional de Beauce a lancé samedi dernier sa campagne de financement de 150 000 $ pour procéder à la réfection de la toiture et au remplacement de quatre surfaces de jeu. Les adeptes de tennis pourront jouer sur une nouvelle surface d’ici septembre prochain.
Après 35 ans, le club privé juge que la surface synthétique et sa toiture ont fait son temps à Saint-Georges. Les entreprises et les particuliers seront sollicités afin d’atteindre ou même de surpasser l’objectif d'après la présidente du club, Marie-Josée Gamache. « Nous visons le cap des 150 000 $. Si nous sommes en mesure d’aller en chercher un peu plus, notre asphalte et notre extérieur nécessitent aussi d’être renippés », dit Mme Gamache.
Au cours des prochaines semaines, le TRB est à la recherche de partenaires financiers. Les quatre espaces seront mis en vente au coût de 25 000 $ chacun. L’entreprise détentrice d’un espace sera commanditaire du terrain pendant 10 ans. Les entreprises pourront aussi voir leurs noms inscrits sur les murs des commanditaires. Des actions au particulier seront mises en vente au coût de 250 $. Pour plus de détails, communiquer au TRB au 418-228-2020.
Plusieurs avantages
La toiture aussi doit être refaite afin de permettre une meilleure isolation, améliorer les économies de chauffage et apporter une meilleure apparence. Les surfaces de jeu doivent être réparées par une surface plus lente favorisant les échanges. Elle favorisera le développement des joueurs tout en éliminant les faux bonds. Habituellement, une surface synthétique dure près de 25 ans.« Cela va être un plus pour les jeunes. La surface sera plus lente. Cela sera plus agréable. Il y aura plus d’échanges », remarque le professionnel du club, Richard Dulac.
Selon lui, l’implantation de nouvelles surfaces de jeux aidera à conserver un fort intérêt pour le tennis chez les jeunes et moins jeunes. « Cela va amener un engouement au tennis. Avec les (trois) nouvelles surfaces extérieures au Cégep, les gens s’arrachent ces terrains », ajoute M. Dulac.