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Le département d’électricité du CIMIC est bien branché

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28 février 2007
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Les nouveaux ateliers et laboratoires du département d’électricité du Centre intégré de mécanique industrielle de la Chaudière (CIMIC) ont été inaugurés le mardi 27 février. Les nouveaux aménagements étaient requis pour enseigner le nouveau programme et cela a nécessité des investissements de près de 400 000 $. Les coûts ont été partagés entre le ministère de l’Éducation, 242 000 $ et la Commission scolaire de la Beauce-Etchemin et le CIMIC, 152 000 $.

Déjà 71 des 119 étudiants de ce programme de 1 800 heures suivent ce nouveau programme implanté à l’automne 2006. Il est plus adapté aux exigences du marché du travail puisqu’il intègre les compétences liées à l’électricité industrielle et de construction, selon la directrice du CIMIC, Chantale Doyon. De nouvelles technologies relatives à la domotique, à la fibre optique et aux télécommunications font maintenant partie du programme.

La domotique regroupe tous les systèmes de gestion qui peuvent rendre par exemple une maison intelligente. L’enseignant Roger Rainville a expliqué que cela permet entre autres de contrôler à distance, en un coup de fil, tous les systèmes de la maison, que ce soit le chauffage, l’éclairage ou le système d’alarme. «Le CIMIC prend le virage du futur et entend être un leader pour la formation des électriciens en Beauce», a indiqué Mme Doyon.

Les élèves de 2e année en électricité, ceux de l’ancien programme, vont pour la plupart faire un cours de six mois après leur cours, pour acquérir les compétences spécifiques pour travailler en électricité sur la construction. Le nouveau programme a l’avantage d’inclure cette formation spécifique et ne demande pas de cours supplémentaires après la formation.

Le nombre d’inscriptions en électricité est en hausse, selon les données mentionnées par le directeur de la CSBE, Camil Turmel. Il a aussi mentionné le bon taux de placement de ce programme. Les modifications apportées au programme permettent aux élèves de faire face aux nouvelles exigences du métier. 1005 heures sont consacrées aux cours techniques et 795 heures sont allouées aux compétences plus générales. Mme Doyon a mentionné que les préoccupations de la santé et de la sécurité au travail et celle de l’économie de matériaux et d’énergie sont très présentes dans la formation.

Il n’y a présentement pas de filles dans le programme d’électricité, mais Mme Doyon a précisé qu’habituellement une à trois jeunes femmes choisissent cette formation professionnelle chaque année. 

Des étudiants travaillent à réparer un système électrique. - Par Julie Beaudoin

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