CONFÉRENCE | «Foncez, il n’y a que vous qui pouvez influencer votre avenir» - Luc-André Lussier
Hier matin, au restaurant Le Journel de Saint-Joseph, c’est un message inspirant et empreint de motivation qu’a livré Luc-André Lussier, le vice-président en opération en assurance des entreprises chez Lussier Cabinet d’Assurance. Ce dernier était le conférencier pour ce 4e Déjeuner reconnaissance de l’année, initié par la Chambre de commerce.
Hier matin, au restaurant Le Journel de Saint-Joseph, c’est un message inspirant et empreint de motivation qu’a livré Luc-André Lussier, le vice-président en opération en assurance des entreprises chez Lussier Cabinet d’Assurance. Ce dernier était le conférencier pour ce 4e Déjeuner reconnaissance de l’année, initié par la Chambre de commerce.
Selon M. Lussier, le plus important pour réussir en affaires, c’est d’abord d’aimer son emploi. « Une carrière lorsqu’on aime pas ce que l’on fait, c’est vraiment long», a-t-il indiqué. Ce dernier donne en exemple sa famille. Son arrière grand-père, son grand-père, son père et lui-même ont tous œuvré ou œuvrent toujours au sein de l’entreprise à différents titres. «Lorsque j’étais plus jeune, nous parlions d’affaires le jour, le soir et les fins de semaine, indique-t-il. Mais nous n’avions pas l’impression de parler de travail, puisqu’il s’agit pour nous d’une passion, d’un hobby », a ajouté l’homme d’affaires.
Pour lui, quand le travail devient un fardeau, il faut changer d’emploi. «Il se peut que votre premier choix ne vous convienne plus, a-t-il mentionné aux spectateurs. Il se peut que vous vous soyez trompés. Dans ce cas, n’hésitez pas de changer de voie et de faire ce que vous aimez réellement.»
Modifier son plan de vie
En plus des gens d’affaires présents dans la salle, plusieurs étudiants de l’École secondaire Veilleux de Saint-Joseph ont assisté à l’événement. Le vice-président leur a adressé plusieurs conseils afin de les préparer à entrer dans le monde du travail.
Il a d’abord abordé le sujet de l’école. «Je n’ai jamais été 1er de classe. Je n’ai jamais vraiment été intéressé par l’école, sauf vers la fin de mes études au cégep, puisque j’aimais ce que j’étudiais. Mais pour y arriver, il faut avoir une bonne base. C’est donc important de mettre les efforts nécessaires pour y arriver», a-t-il mentionné.
Il a ensuite parlé de l’importance de foncer dans la vie. « Il n’y a que vous qui pouvez orienter votre vie, qui peut influencer votre avenir, a-t-il indiqué. Si vous avez besoin de support, allez-y, demandez-le. La gêne et l’hésitation ne font que vous freiner. Rien n’arrive gratuitement.»
Les différents défis d’un jeune homme d’affaires
Étant dans la vingtaine lorsqu’il a fait son entrée dans l’entreprise, le jeune homme d’affaires de 36 ans a expliqué qu’il a eu à relever de nombreux défis. «Il est difficile, dans la mi-vingtaine, de mentionner à son père qu’il a tort de faire un choix en particulier, a-t-il dit, en riant. Il faut avoir la force de garder ses idées et les défendre jusqu’au bout. Mais il faut également avoir l’humilité d’apprendre», a-t-il conclu.
Le prochain Déjeuner reconnaissance aura lieu le 28 mai prochain, au Restaurant le Journel. Suzanne Lehoux, travailleuse humanitaire, agira à titre de conférencière.
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