L’École secondaire Notre-Dame-de-la-Trinité change de nom
Un tout nouveau nom désignera l’École secondaire Notre-Dame-de-la-Trinité de Saint-Georges. En raison du projet de redéploiement de la clientèle de Saint-Georges adopté en janvier dernier par de la Commission scolaire de la Beauce-Etchemin, l’institution se nommera dorénavant l’École des Deux-Rives. Le conseil des commissaires de la CSBE ont adopté de façon unanime le changement de nom de cette école hier soir lors d’une soirée fort chargée.
Lors des consultations du redéploiement de la clientèle à Saint-Georges de l’automne dernier, un parent dans la salle avait même suggéré de changer le nom de l’école pour en changer la perception du public de cette école.
Actuellement, l’institution prodigue l’enseignement aux écoliers de secondaire 1 et 2. Elle accueillera une toute nouvelle clientèle scolaire dès l’automne prochain. En effet, l’École des Deux-Rives regroupera les élèves de Saint-Georges du cheminement particulier du 3e cycle du primaire, les 5e et 6e années de Saint-Georges et tous les élèves de 1re secondaire du territoire.
Rappelons que la CSBE a adopté en début d'année un nouveau modèle de répartition de la clientèle scolaire en raison de l'accroissement des élèves du secteur de Saint-Georges.
École la Passerelle
Toujours dans le cadre du redéploiement de la clientèle de Saint-Georges, les conseils d’établissement des écoles Petits-Castors et Lacroix ont fait une demande d’institutionnalisation. Cette école regroupée dessert un territoire commun. Hier soir, le conseil des commissaires a aussi approuvé le changement de nom des écoles les Petits-Castors et Lacroix pour l’École la Passerelle. Ce nom a été adopté par le conseil d’établissement après un concours réalisé auprès des élèves.
Soulignons toutefois que les bâtiments respectifs conserveront leur nom. L’an prochain, les niveaux de la préscolaire et de la 1re année se trouveront aux Petits-Castors alors que ceux de la 2e à la 4e année seront offerts à Lacroix.
Un budget plus élevé en immobilisations
La CSBE a eu la confirmation du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport qu’elle recevra un montant plus élevé pour la résorption du déficit d’entretien des bâtiments. En effet, l’enveloppe passera de 3,67 M$ à 4,42 M$. Le Ministère a aussi alloué à la CSBE un budget supérieur de près de 200 000 $ pour la prochaine année pour la mesure L’école 2.0, l’École branchée. Cette somme servira à l’acquisition d’ordinateur portable pour les enseignants. Ces hausses font notamment passer le budget d’investissement autorisé par le MELS à 14,46 M$ alors qu’il s’élevait à environ 13,51 M$.
De gré à gré avec les transporteurs
Le conseil des commissaires a aussi convenu de façon majoritaire à la poursuite de négociations des contrats de transport scolaire de gré à gré. Jérôme L’heureux, directeur des services éducatifs, a rappelé la bonne collaboration des transporteurs et surtout le fait que les indices financiers pour le transport scolaire demeurent plus faibles qu’ailleurs en province. Marc-Anges Doyon a été le seul commissaire qui s’est dressé contre cette façon de faire.
Services de garde
Tout près d’une trentaine de parents de Saint-Robert-Bellarmin, de Saint-Théophile et de Saint-Ludger ont quémandé au conseil des commissaires des services de garde légitimes dans leurs communautés respectives. Après de vives discussions, le conseil a demandé aux parents de prouver que l’autofinancement des services de garde est possible avant d’autoriser le démarrage de ceux-ci pour l’automne prochain.
Soulignons que les commissaires ne veulent pas déroger de leur récente orientation de l’autofinancement de chaque service de garde en milieu scolaire, et ce, malgré des surplus de 900 000 $. Un texte à ce sujet suivra ultérieurement.
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