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Référendum un an après : L’aventure de la salle de spectacles aura coûté 380 000 $

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7 juin 2011
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Les démarches de Ville de Saint-Georges pour son projet de salle de spectacles a coûté environ 380 000 $. Le 6 juin dernier marquait le triste anniversaire du référendum tenu l’an dernier ayant eu pour effet de faire avorter le projet de salle de spectacles de quelque 15,8 M$ au centre-ville.
Lesdits frais de 380 000 $ ont été comptabilisés à même les opérations de la municipalité dans les plus récents états financiers.

Le conseil précédent et l’actuel ont engagé des sommes totalisant 210 000 $ dans le processus d’élaboration (études, échantillonnages de sols, honoraires professionnels, etc.) du concept de complexe culturel, puis de sa conversion en salle de spectacles par la suite. Cela comprend notamment les contrats octroyés à la firme d’architectes Dan Hanganu et à la firme de revalorisation embauchée pour l'étape de relocalisation du projet au centre-ville afin d’en diminuer ses coûts et son ampleur.

Dans un deuxième temps, la démarche référendaire aura quant à elle coûté 140 000 $ à la Ville de Saint-Georges. À cela s’ajoute une somme de 30 000 $ dont la majeure partie s’explique par des remboursements d’honoraires de professionnels.

Rappelons que la ville a dû avoir recours à une firme d’évaluateurs agréés et d’avocats notamment dans le cadre du processus d’acquisition de terrain et d’expropriation. De plus, la Ville a dû verser une compensation financière au propriétaire lésé dans cette démarche d’expropriation avortée par le résultat en défaveur du règlement d’emprunt.

Des terrains en poche!
Dans cette démarche de salle de spectacle, la Ville de Saint-Georges n’aura pas tout perdu. La Municipalité est devenue aussi propriétaire des terrains près du boulevard Lacroix et de l’église l’Assomption. Ce premier site se devait d’accueillir le projet élaboré par le conseil municipal précédent dirigé par le maire de l’époque, Roger Carette. L’acquisition de ses terrains qui incluait aussi la maison aux abords du boulevard aura coûté 1 355 000 $. Ces propriétés demeurent cependant des actifs dormant au registre foncier de la Ville.

Aux dires du directeur général adjoint, Claude Poulin, la Ville n’a pas de projet en vue pour ces terrains. Cependant, ces terrains ne sont pas appelés à perdre de la valeur, au contraire, souligne ce dernier. Par ailleurs, la Ville aura la liberté, en tant que propriétaire, de décider de l’usage de ces terrains à sa guise.

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