Meurtre d'un chauffeur de taxi, encore beaucoup de questions sans réponses
L’enquête de la Sûreté du Québec (SQ) se poursuit alors que le corps d’un chauffeur de taxi de 73 ans a été retrouvé ce matin dans son véhicule de service garé sur la 123e Rue à Saint-Georges. Il s'agirait d'un meurtre selon la SQ.
La victime, Hygin Veilleux, employé pour la compagnie Taxi du Pont, est un homme originaire de Saint-Georges sans histoires avec la justice.
C’est un ami et collègue, François Gilbert, qui a fait la découverte du corps. Les policiers ont aussitôt été appelés pour se rendre sur les lieux vers 9 h 40. Un large périmètre du secteur a été bouclé autour du véhicule de la victime, soit une Kia blanche.
Les enquêteurs des crimes contre la personne de la Sûreté du Québec sont sur les lieux afin de relever des indices.
Selon les informations obtenues, le véhicule de la victime était stationné au même endroit depuis plusieurs heures. De plus, à la suite d'un point de presse dimanche matin, la SQ confirme que le corps de la victime porte des marques de violence. Le dernier appel pour obtenir les services du taxi en question aurait été logé à partir de la cabine téléphonique près du coin de la 123e Rue et la 2e Avenue. Le corps du chauffeur de taxi aurait été retrouvé 24 heures plus tard.
La SQ sollicite l'aide de la population dans cette affaire. Si vous avez été témoin de faits ou avez des informations en lien avec cet homicide, communiquez au 1 800-659-4264.
17 commentaires
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Le taux d’homicide est le double chez les chauffeurs de taxi. Voilà un métier dangereux.
Ben oui, ya eu un meurtre ici, pareil comme dans les vraies villes à la télé, pis après? On est tellement chanceux d'être aussi en sécurité, svp, remerciez les autorités au lieu de les critiquer et dites-vous qu'au nombre de dingues qui se promènent dans le secteur entre la 119;eme et la 123ème, on s'en tire très bien. C'est pas la nuit des zombies, pas encore.
Je pleure aussi avec la famille Roy, je pense au glaive qui traverse présentement le coeur de cette mère et de ce père en ce moment et à ce jeune Jean-François mort-vivant.
Trop tôt pour ce discours, me direz-vous, mais, éventuellement, de part et d'autre, il n'y aura qu'une avenue pour retrouver la paix intérieure: "le pardon" Ma pensée pieuse accompagne chacun des membres de ces 2 familles.