a gauche famille Edouard poulin(ti doir)Jockey Conrad Labbé
Une rencontre de citoyens. Je reconnais mon grand-père Alphonse Pépin, Josephat Poulin(maire), J Adalbert Gagné et Jean-Marie Bilodeau
Congrégation des hommes, Saint Georges 1920.
Moïse Fortier est né à Québec le 3 octobre 1813 de Moïse et Madeleine Gourdeau. Il fut ordonné à Québec le 21 décembre 1837. Après avoir été vicaire à Maskinongé il fut nommé 1e curé à St Georges. Il s'est noyé en face de Beauceville le 12 mai 1845. Inhumé sous la première chapelle de St Georges.
Antoine Campeau est né à Québec le 23 septembre 1812. Fils d'Antoine et de Perpétue Bigaouette. Ordonné le 4 juibn 1837, il fut vicaire à Québec avant de devenir second curé à St Georges en 1845..Il se rendit sur la Grosse-Ile en 1847 lors de l'épidémie. En 1857 in devint curé de Beauport.
Charles Godefroy Gaudin est né le 18 janvier 1837 au Cap santé, fils de Jean et de Marguerite Paschal. Ordonné le 13 mai 1855, il fut désservant des Écureuils, Lévis. En 1857 à Saint Anselme et en octobre de la même année curé de St Georges..1859 curé de la Petite Rivière, 1861 À St Éloi et 1867 à St Fidèle.. (Par Claude Gilbert)
Ferdinand Catellier est né le 6 avril 1829 à St Vallier, fils de Prisque et Marguerite Marceau. Ordonné à Québec le 22 septembre 1855. Il fut vicaire à St Roch de Québec. En 1859 il fut nommé curé 4e à St Georges.. (Par Claude Gilbert).
Bernard Bernier nait le 24 juin 1839 à Cap-Saint-Ignace. Fils de Jean et d'Éléonore Bernier. Il est ordonné prêtre le 23 septembre 1866 à Québec. Il est vicaire à Saint-Jean de l'Île d'Orléans en 1866 et à la Sainte-Famille en 1867. Il est curé de Saint-Gilles en 1868. Il devient le 5e Curé de St Georges entre 1869 et 1890. (Par Claude Gilbert).
L'Abbé Théophile Montminy est né le 4 février 1842 à St Jean Chrysostome, fils de Joseph (ferblantier) et de Marguerite Lambert, décédé à Québec le 17 décembre 1899. Inhumé le 20 dans sa paroisse natale. Il fut ordonné le 18 septembre 1870. Vicaire à Beauport, entre 1870 et 1877, s'occupa aussi de la désserte a la chûte Montmorency. Nommé à Saint Antonin près de Rivière du Lou en 1877, puis à Saint Agapit en 1879. Fut nommé 6e curé de St Georges en 1890 jusqu'en 1899. De novembre 1897 à juin 1898, Montminy, à cause de sa santé défaillante, séjourne aux Antilles où il a déjà effectué en 1887, pour la même raison, un premier voyage de 33 jours. En septembre 1899, toujours malade, il quitte la cure de Saint-Georges et se retire à Québec, à l’hospice Saint-Louis-de-Gonzague des Sœurs de la charité de Québec. C’est là qu’il meurt subitement, au cours d’une séance musicale, le 17 décembre 1899. Au moment de sa mort, toujours préoccupé du progrès de l’agriculture, Théophile Montminy se passionnait pour la question agricole de l’heure, la création d’abattoirs publics. Bon musicien, Montminy a enseigné le piano et l’harmonium pendant ses études puis, dans les paroisses où il sert, il fonde ou encourage chorales et fanfares dont la musique rehausse les cérémonies liturgiques et les grands déploiements populaires qu’il excelle à organiser. (Par Claude Gilbert).
Le curé Dionne est né à Sainte-Anne de la Pocatière le 26 août 1861. Fils de l’honorable Élisée Dionne, conseiller législatif à Québec et de Claire Têtu, il fit ses études dans sa paroisse natale et fut ordonné prêtre par Monseigneur Dominique Racine le 7 juin 1884. Il fut nommé d'abord Curé à Saint Maxime de Scott vers les 1895 ou il fit batir l'église actuelle. Il remplaça l'Abbé Montminy à St Georges en 1899 jusqu'en 1918. Il s'organisa pour ériger en 1913 le vieux Collège (Académie du Sacré-Coeur) ou il fit venir les frères Maristes. Le curé Dionne est décédé en 1918 et fut inhumé dans le sous-sol de l'Église actuelle. Dans la nef latérale coté droit (au sud) nous pouvons voir sa pierre tombale au mur. À noter que son frère Émile était curé de L’Islet et que sa soeur Adine était l’épouse de Louis-Alexandre Taschereau, futur premier ministre du Québec, frère du cardinal Louis-Alexandre Tachereau et cousin de l’honorable Thomas Chapais. Les travaux de la nouvelle église, (l'actuelle), débutèrent par l’érection de la sacristie tout juste à côté de l’ancienne église. Elle servit au culte divin pendant que la grande église prenait forme. Le 17 juin 1900, on célébra la dernière messe dominicale dans l’ancienne église et le lendemain, on entreprit sa démolition. Le dimanche suivant, 24 juin, on célébrait la première messe dominicale dans la nouvelle sacristie. Le 3 juillet, le curé Dionne entreprit la construction de la grande église si longtemps attendue. Elle dura deux ans. La pierre angulaire fut bénie le 4 septembre 1900 et la bénédiction de cette magnifique église par Son Excellence le Cardinal Archevêque de Québec, Monseigneur Louis-Nazaire Bégin. eut lieu le 27 juillet 1902. Voici ici le texte intégral dit lors de la bénédiction de l’église: «Le 27 juillet de l’année de Notre Seigneur 1902, nous soussigné, Archevêque de Québec, avons béni avec les solennités prescrites, la nouvelle église paroissiale de Saint-Georges de Beauce. Ladite église, construite en pierre, a 196 pieds de longueur en dedans sur 80 pieds de largeur en dehors, 38 pieds de hauteur au-dessus des lambourdes. Les plans ont été tracés par M. David Ouellet, architecte-, la maçonnerie a été fait par M. Joseph Couture de Lévis, la charpenterie par M. Joseph Labrecque. Les Syndics ont été MM. Charles Morin, président, Georges Roy, Pascal Labbé, David Roy et Jean-Baptiste Veilleux. La première messe a été dite le dimanche précédent avec la permission de Monseigneur l’Archevêque, par le curé, Rév. M. H. Alfred Dionne. La grand-messe, le jour de la bénédiction, a été chantée par le Rév. Messire Joseph Sirois, curé du Cap St-Ignace. Ont été présents un grand nombre de fidèles et plusieurs membres du Clergé qui ont signé avec nous.» (Signé) Alfred Dionne, ptre curé de Saint-Georges L.N. Arch. de Québec. (Claude Gilbert).
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