Mise à jour
Incendie à Saint-Georges: une victime dans un état critique
Une personne qui se trouvait dans l’édifice à logement qui a pris feu ce matin sur la 119e rue à Saint-Georges, se bat présentement pour sa vie.
C’est ce qu’a indiqué une agente de communication de la Sûreté du Québec en entretien téléphonique avec EnBeauce.com. « Elle a été transportée au centre hospitalier dans un état critique et on craint pour sa vie. »
Ce sont les policiers qui sont arrivés les premiers sur les lieux. En effet, la Sûreté du Québec a reçu un appel vers 7h pour un homme qui semblait désorganisé sur la 119e rue. « Une fois sur place, les policiers ont constaté que le feu était pris dans l’un des appartements de l’immeuble », a mentionné l’agente.
Selon les précisions transmises par Frédéric Morin, directeur du service de sécurité incendie de Saint-Georges, les policiers ont alors tenté d’entrer dans le bâtiment à logements pour sortir la dame qui se trouvait à l’intérieur. Cependant le feu était trop fort. Ce sont alors les pompiers qui l’ont sorti avant de procéder à des manœuvres de réanimation et de la remettre aux mains des ambulanciers.
Retour sur le déroulement des événements
Ce sont donc les policiers qui sont arrivés les premiers sur les lieux suite à un appel reçu vers 7h pour un homme qui semblait désorganisé sur la 119e rue. L’homme en question a été localisé et arrêté. Il a été transporté au centre de police pour être rencontré par les enquêteurs.
« Une fois sur place, les policiers ont constaté que le feu était pris dans l’un des appartements de l’immeuble », a mentionné l’agente de communication.
À l’arrivée des pompiers vers 7 h 20, ils ont pu constater que le feu était éclaté au niveau de l’appartement 1. Ils ont rabattu les flammes pour procéder au sauvetage de la dame. Ils ont ensuite aidé les autres résidents à sortir, car il y avait de la fumée dans l’ensemble de l’immeuble. Une dizaine de personnes ont été évacuées dont une par une échelle, puisqu’elle était coincée dans son logement.
L’incendie était terminé vers 8 h 30, mais les soldats du feu ont dû ventiler les cinq étages et tous les appartements pour que les résidents puissent revenir chercher des affaires essentielles. « Ce ne sera pas habitable. Il faudra une décontamination pour nettoyer et enlever toute l’odeur de fumée », a précisé Frédéric Morin.
Le dossier sera pris en charge par la division des enquêtes sur les crimes majeurs.
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