La SQ ouvre ses portes aux Beaucerons
Polixe, la mascotte de la SQ, accueillait les visiteurs
Le poste de commandement mobile
Il était possible de rpendre un alcotest
L'arsenal des agents antiémeute
Les cellules du poste de la SQ dans la MRC Robert Cliche
Une table avec divers exemples d'empreintes prises sur des scènes de crime
Les agents de la SQ étaient disponible pour expliquer et répondre aux questions
Un des Quads de la SQ
Impressionnant de voire la panoplie de rapports qu'ont à connaître les policiers
Le robot servant à désamorcer ou manipuler les objets suspects.
Uen fausse scène de crime était montée
L'expert en explosifs a fait part de ses connaissances.
Le poste de la MRC Robert Cliche de la Sûreté du Québec ouvrait ses portes à la population beauceronne le vendredi 15 juin dernier. Les participants avaient la chance de visiter l’ensemble des locaux en plus de rencontrer de nombreux experts visiblement fiers de partager leur passion du métier à la population.
La visite commençait dans les locaux avec les bureaux des patrouilleurs et des différents agents travaillant pour la SQ. Les enquêteurs sur place dans leurs bureaux ont quant à eux expliqué la nature de leur travail ainsi que les critères à savoir si c’est à eux d’agir sur une scène de crime. Les salles d’interrogatoires faisaient également partie de ce premier volet de la visite.
Ensuite, les visiteurs passaient devant les cellules du poste, aux barreaux solides et à la fermeture bruyante. Rien pour donner envie aux nombreux citoyens de s’y retrouver un jour, il était tout de même possible d’y entrer. C’est ensuite un expert de l’alcool au volant qui donnait les principales charges contre les chauffeurs en état d’ébriété. Les visiteurs pouvaient également procéder à un alcotest.
Puis, la visite de la salle des pièces à conviction suivie d’une brève formation rapide de recherche d’empreintes et de traces sur une scène de crime a fait ressortir les experts en criminalités enfouis chez les citoyens. Une fausse scène de crime était montée pour imager le travail des enquêteurs.
Finalement, l’artillerie lourde était exposée à l’extérieur à l’arrière du poste. Un camion de transport pour l’unité antiémeute était sur place avec l’arsenal que portent les agents appelés à ce devoir. L’habit de protection de ces derniers était également sur un support pour l’observation. Juste à côté, un expert en explosif faisait la démonstration d’un robot d’une valeur de 400 000$ servant à désamorcer ou du moins manipuler des colis ou paquets suspects. L’habit antibombe pesant 100 livres et valant 30 000$, utilisé lorsque le robot ne peut l’être, était également exposé et suscitait la curiosité de plusieurs.
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