Accident impliquant un autobus d'Autocars la Chaudière: Un homme et une femme périssent dans l'accident
Un accident impliquant un autobus de l’entreprise Autocars de la Chaudière de Saint-Georges a fait deux morts et tout près d'une trentaine de blessés, vers 8 h ce matin, sur la route 165 entre Plessisville et Saint-Ferdinand d’Halifax. Les victimes seraient un homme de 67 ans de Stratford et une femme de 70 ans de Thetford-Mines. Les personnes blessées ont été transportées à l’hôpital de Victoriaville alors que d'autres ont pris la direction de l'hôpital de Thetford-Mines.
En tout, 57 personnes, provenant des diverses municipalités, dont certaines de la Beauce, venaient de quitter Thetford-Mines à bord de l'autocar afin de se rendre au casino d’Akwesasne.
Cause de l'accident
L’autobus aurait fait une sortie de route avant percuter un poteau électrique et de se renverser. Plusieurs des personnes qui prenaient place à bord de l'autobus étaient des personnes âgées. Il semble que la courbe où s'est produite la sortie de route est souvent le lieu de nombreux accidents annuellement. De plus, la neige et les forts vents qui soufflaient dans le secteur ce matin auraient pu jouer un rôle dans la perte de contrôle.
Provenance des passagers
Le propriétaire d'Autocars La Chaudière, Pierre Breton, a indiqué à EnBeauce.com que l'autocar s'est arrêté dans sept municipalités dont Beauceville, Saint-Joseph, Tring-Jonction et Thetford-Mines. Par ailleurs, M. Breton a précisé que le conducteur de l'autobus est un homme de 57 ans. Celui-ci se porte bien malgré le choc. À la retraite, celui-ci conduit des autobus pour l'entreprise depuis cinq ans. Dans le passé, il était conducteur d'autobus pour les Forces armées canadiennes.
Conférence de presse
En point de presse, cet après-midi, les autorités de l'hôpital Notre-Dame d'Arthabaska ont indiqué qu'ils avaient accueilli 28 personnes. Les principales blessures sont des fractures. Une seule victime a été transférée vers l'hôpital l'Enfant-Jésus à Québec. Cependant, on ne craint pas pour la vie de celle-ci, ni des autres personnes hospitalisées.
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